SWEET CHILD IN TIME YOU'LL SEE THE LINE DRAWN BEETWEEN THE GOOD AND THE BAD. Je suis née avec une cuillère d'argent dans la bouche. Vous connaissez mon nom, n'en doutez pas, puisque je suis l'unique enfant de Thomas Bryce, le sénateur, et de sa compagne Helen Bryce -née Rosenbach-, la grande couturière directrice de la célèbre maison de haute couture Rosenbach, un héritage familiale. Je suis née à Canberra, et même si j'ai beaucoup voyagé dans ma vie, aucun autre paysage, aucun autre endroit n'a jamais trouvé grâce à mes yeux en dehors de l'Australie. Tous les ans, j'inscrivais en haut de ma liste à envoyer au père noël "un petit frère ou une petite soeur". Je faisais le même voeux à chaque fois que je soufflais mes bougies d'anniversaires ou que je voyais une étoile filante. J'étais fille unique, et j'aurais adoré savoir ce que c'était d'avoir quelqu'un qui serait toujours là, quelqu'un qui partagerait mon sang et avec qui je pourrais tout partager, quelqu'un sur qui je pourrais veiller et qui veillerais sur moi. Outre le fait d'être fille unique, c'était aussi l'absence de mes parents qui me rongeait. Ils n'étaient jamais là, toujours en voyage ou au travail. Je ne pouvais pas vraiment leur reprocher, mais ça me faisait mal, je ne comprenais pas pourquoi mes parents n'étaient jamais là, pourquoi c'était une gouvernante qui m'élevait, et non pas mon père comme tout le monde. Mon univers doré n'était donc pas si parfait que ça. Mais l'un dans l'autre j'ai bien finit par grandir, des bonnes notes, des petits copains, des amis que je pensais pour la vie. Bref, la vie. Puis l'adolescence fut une période plutôt... difficile. Je me souviens de cette époque même si je préférerais l'oublier, j'étais en conflit permanent avec mes parents, je faisais tout pour les pousser à bout, pour leur faire payer d'avoir étaient absents toutes ses années. J'organisais des fêtes qui renversaient complètement la baraque, je découchais pratiquement tous les soirs, je séchais les cours... Et mes fréquentations avaient peu à peu évoluées. Exit les copains d'enfance, je rencontrais une autre facette de la jeunesse dorée, ceux qui déconnaient à plein régime. Et j'ai commencé à faire comme eux, la pire connerie de ma vie. Je ne sais plus vraiment comment ça à commencé, au début c'était innocent, même si je sentais bien que c'était un peu malsain. La kétamine est normalement utilisé comme anesthésique dans les milieux hospitaliers. Moi je l’utilisais pour ses effets hallucinatoires. Je pensais pouvoir le contrôler, je me suis sur-estimée. J'avais besoin de toujours plus et comme je pouvais m'en procurer facilement, je ne réfléchissais pas plus. C'était la descente aux enfers. Je ne crois pas que ça ai duré si longtemps que ça, quelques mois seulement. Au début, mes parents ne se doutaient de rien, bien sur ils ne me voyaient jamais, alors comment auraient-ils pu se douter de quelque chose ? Puis un jour ils se sont réveillés. Mes notes avaient fait une chute vertigineuse, le lycée avaient prévenu mes parents de mes nombreuses absences, et ils m'avaient trouvé comateuse dans ma chambre. Après, c'était beaucoup plus flou. Je me souviens vaguement des lumières qui dansaient au dessus de moi, de la rumeur des conversations. J'ai passé les mois suivants à ne plus trop savoir ce qui m'arrivait. Mon père avait prit les choses en main. Médecins, psy, cure de désintoxication... Puis mes parents en était arrivé à la conclusion que ce n'était pas vraiment ma faute, mais que le monde dans lequel je vivais, cette jeunesse doré, c'était pas pour moi. Je n'étais pas assez forte pour résister à ce monde malsain. J'ai l'impression d'entendre encore mon père dire que le pensionnat de jeune fille Sainte Blandine m'aiderait à me remettre définitivement sur pied. J'étais devenue folle. J'irais pas ! Je veux pas de ce pensionnat pourri ! Je veux rester ici ! Mais mon père voulait reprendre ma vie en main, et ça commençait par ne plus céder à mes caprices. Quand je l'avais compris, j'avais explosé un vase en cristal sur le sol. Mais j'aurais pu retourner tout l'appartement, ça n'aurait rien changé. Je n'arrivais pas à y croire. Mes parents avaient trouvé un moyen de se débarrasser de moi parce que je devenais gênante pour leur carrière. C'est vrai, les questions des journalistes sur leur droguée de fille faisaient forcément tâche.

I CAN NEVER LEAVE THE PAST BEHIND BUT IT'S ALWAYS DARKEST BEFORE THE DAWN. Pensionnat de jeune fille Sainte Blandine, quelque part dans les Alpes Suisse. L'endroit le plus paumé que j'avais jamais vu, même malgré mes nombreux voyages. Sainte Blandine, c'était un genre de château perdu dans la montagne, on suivait des cours, la discipline était incroyablement stricte, on étaient entassé dans des dortoirs de six ou sept. Et dans le mien, les filles les plus nunuches de la planète. Elles n'étaient pas méchantes, au contraire, je voyais bien qu'elle voulait qu'on deviennent amies. Mais des amis j'en avais déjà. Du moins c'est ce que je pensais. Ils auraient pu venir, m'écrire, me téléphoner, j'étais en pension, pas en prison. Toutes ces choses m'étaient permises. Aucun de l'avait fait. Aucun n'était venu me voir, ni n'avais songé à prendre de mes nouvelles. Blessée, je m'étais complètement refermé sur moi même, j'avais refusé la main tendue de mes camarades de dortoirs. Puis je m'étais fixé l'objectif de faire en sorte que Sainte Blandine n'oublie pas de si tôt la venue de Prudence Bryce entre ses murs. Mes parents voulaient faire de moi un agneau en m'envoyant ici ? J'allais être pire que jamais. Moins de deux semaines après mon arrivée, j'avais rencontré les garçon du pensionnat Saint Thomas, dont la direction était la même que celle de Sainte Blandine. C'était l'établissement jumeaux, mais réservé aux garçons. Nous nous étions tous retrouvé pour le seul événement de l'année que nous faisions un commun, un genre de pique-nique dans une vallée à mi chemin des deux chateaux. Comme c'est bucolique... Pathétique était peut-être le mot exacte. Heureusement pour moi qui ne parlait que l'anglais, Sainte Blandine était un établissement anglophone exclusivement, tout comme Saint Thomas. Je n'arrivais pas à y croire, il y avait là des jeunes du monde entier, bien sage dans leurs uniformes, qui passaient à côté de leur vie. Malgré ma résolution de n'adresser un mot à personne, je devais bien reconnaître que dès qu'il s'agit de sociabiliser, je ne sais plus dire non. Je crois que c'était la première fois depuis mon départ de Canberra que j'éclatais franchement de rire. A peine rentrée au pensionnat à la fin de la journée, je commençais à réfléchir. Peut-être que je pourrais arriver à convaincre les filles d'organiser quelque chose avec les garçons de Saint Thomas. Je n'avais pas eu à trop insisté au près des filles de ma chambre, après tout, nous étions toutes un peu pareil, nous voulions nous amuser tout simplement. Préparer une maxi soirée devenait en revanche un peu plus compliqué, mais avec un brin de ruse, et l'aide des garçons, c'était tout à fait faisable. Un mois plus tard, nous avions assez d'alcool acheté au village pour saouler un régiment, et nous nous étions mis d'accord sur une date. Les garçons quitteraient leur pensionnat à la tombée de la nuit pour venir dans le notre. Notre travail était de faire sortir les professeurs, surveillants et autres troubles fêtes. Et cette partie avait marché au-delà de mes espérances. En faite c'était d'une simplicité risible. Nous avions fait rentrer les garçons dans la plus grande discrétion, puis Tess, Jaimie et moi étions arrivé affolées dans la partie privative de l'établissements en appelant à l'aide, prétendant qu'une de nos camarades s'étaient blessé en tentant de faire le mur. Tous avaient courus jusqu'à l’extérieur, et nous avions verrouillé toutes les entrées. Nous étions à l’intérieur, eux à l’extérieur, sans moyen d'entrer. A cette instant, la fête apocalyptique avait démarré. J'étais sure de mon plan, j'avais vite compris que l'institution était indépendante, ils n’appelleraient pas à l'aide, et ça m'arrangeait bien. Je crois que c'était la plus belle soirée de ma vie, et c'est là que mon amitié avec les filles de Sainte Blandine et les garçon de Saint Thomas avait commencé. C'était une nuit qu'on oublierait pas de si tôt, qui resterait dans les annales de l'établissement. La musique avait secoué les Alpes toute la nuit ainsi qu'une partie de la matinée. C'était un tel bonheur de me lâcher à nouveau, sans compter que flirter m'avait manqué. Nous avions réouvert les portes dans l'après midi, face à la direction des deux institutions. Ils étaient furax, nous étions encore ivres d'alcool et de folie. Ils auraient pu me dénoncer, personne ne l'avait fait alors que tous savaient que j'étais à l'origine de cette idée. Non, ils n'avaient rien dit. Faute de pouvoir tous nous exclure, nous avions écopé d'une sacré punition qui comprenait le nettoyage, des heures de colle, des travaux d’intérêt général et ce genre de chose, et nos parents avaient été informé de notre petite fête. La plupart de mes camarade s'étaient fait incendier par leur parents, je n'avais eu aucune nouvelle des miens. Mes amis avaient compris pourquoi je m'en sentais blessé et non pas soulagé. Mes parents s'en contre foutait. J'avais passé un an à Sainte Blandine, et j'y avais plus apprit qu'en 17 ans à Canberra et à travers le monde. Mais après un an, nous obtenions nos diplôme, et nous retournions tous chez nous. Mon expérience à Sainte Blandine me marquerait toujours, malgré le bordel que j'avais foutu ici, j'avais réussi à y vaincre j'espérais définitivement mon addiction. J'étais heureuse de retourner en Australie, de retrouver mon pays et le surf, mais déchirée de quitter mes amis, les premiers de ma vie comme je venais de le constater.

I KNOW JUST WHAT YOU'RE SAYING, STOP EXPLAINING. DON'T TELL ME CAUSE IT HURTS. En rentrant à Canberra, j'avais souhaité couper les ponts avec mes anciens amis. Certains d'entre eux avaient eu le culot de revenir, de me dire que j'avais l'air en forme et de tenter de m'emprunter une paire de chaussure. Et quand j'étais en train de crever dans un lit d’hôpital ou de tout casser dans un centre, t'étais où connasse ? Je m'étais fait un nouveau cercle d'amis en entrant à la fac en faite. J'allais mieux, mais mes rapports avec mes parents devenaient plus compliqués de jour en jour. Mon père m'obligeait à venir aux événements débile qu'il organisait, j'y aller pour montrer à tous le monde à quel point j'étais rayonnante et à quel point ma famille était parfaite. C'est pourtant à une de ses soirées débiles que j'ai rencontré AJ pour la première fois. Le groupe d'Artur-Judd Welsby était le nouveau groupe à la mode, les filles en était folle, on écoutait tous ça à fond dans nos chambre parce que ça emmerdait nos parents, on bougeaient la tête et on chantaient faux. A côté de moi, Mary devenait folle et avait activé le mode groupie depuis longtemps déjà. Prue ! Regarde comme il est beau ! La vache je suis amoureuse... Je haussais les épaules sans même jeter un regard au nouveau coup de coeur de mon amie qui tombait amoureuse environ tous les deux jours. Mais je savais qu'elle me parlait d'Artur-Judd, qui déchaînait toutes les passions en ce moment et qui faisait les choux gras des tabloïds. Je n'avais pas envie d'être là, mais il fallait être aveugle pour ne pas se rendre compte que le jeune chanteur était un Apollon en puissance. Je lui jetais un regard en coin et rejoignais les coulisses en prétextant devoir parler à mon père. C'est là que je l'ai rencontré pour la première fois. Je ne sais pas trop comment ça c'est passé, mais c'était comme une évidence quand il s'est approché de moi. Il à posé un main sur ma taille, je lui lançais un regard malicieux et lui volais un baiser. Il approcha son visage du mien et nous échangèrent un baiser passionné. C'est tout. Quelques mots, le temps d'un baiser, et c'était terminé. On s'est séparé avec un sourire, c'était sympas, mais la soirée était finit. Je ne dis rien à Mary qui aurait fait un infarctus, de toute façon je pensais ne plus jamais revoir ce jeune homme. En faite je l'ai plutôt vite oublié, de toute façon quand j'ai rencontré Jeremiah, plus personne d'autre ne comptait. Jeremiah, c'était mon coup de foudre, il était beau, drôle, intelligent, bref, il avait tout pour plaire. Il est arrivé au bon moment, quand j'étais au bord de l'explosion, quand je ne pouvais plus supporter mes parents. Devant mes crises à répétition, mon père m'a proposé d'emménager dans un appartement que nous avions dans le centre de Canberra, je serais près de la fac, et je serais indépendante. J'avais sauté sur l'occasion, et Jeremiah était venu s'installer avec moi, ce que mes parents désapprouvaient totalement. Mais je me passais de leur avis et permettais à mon petit ami de s'installer dans l'appartement. Nous vivions notre idylle passionnée sans jamais penser au lendemain, et ça nous convenait parfaitement. Je ne savais pas si j'étais "amoureuse", j'étais un peu dubitatif quant à l'amour, et je ne savais pas vraiment ce qui en était et ce qui n'en était pas. Donc je préférais ne pas me poser la question. Puis au fil des mois, nous nous entendions moins bien. Nous étions deux indépendants jaloux au fort caractère, forcément, ça fait des étincelles. Les engueulades sont devenu de plus en plus fréquente. Après une de ces engueulades, il est venu dans la chambre avec ses yeux de chatons, ce qui était un très mauvais signe. Prudence, j'ai beaucoup réfléchis. Les mots "c'est une première" me brûlèrent les lèvres mais je ne dis rien, j'attendais la suit en m'attendant à des excuses. On fait n'importe quoi, on se fait du mal, on peut pas continuer comme ça. J'ai trop d'affection pour toi pour te faire encore souffrir. Je lui jetais un regard incrédule. Il était sérieux là dans son discours de comédie romantique ? Bordel que je détestais les comédies romantique. Faudrait peut-être mieux qu'on prenne nos distances, au moins pour un moment tu vois... Je laissais le silence s'installer, je me levais et m'approchais de lui. Attend, t'es en train de me larguer ? J'ai vu la lueur de malaise passer dans ses yeux. Jeremiah me connaissait, et il avait peur de ma réaction. Avec raison. J'effleurais sa joue du bout des doigts, un sourire attendris sur le visage. Je me dirigeais vers la cuisine, ouvrais un tiroir dont je sortis un sac poubelle. Je retournais dans la chambre où il m'attendait toujours, il avait l'air de redouter le pire. J'ouvrais le placard d'un geste plus violent que prévu et là j'avoue que j'ai un peu pété les plombs. J'ai balancé ses fringues en vrac dans le sac puis je l'ai poussé jusqu'à la porte, foutu dehors, jeté le sac à la figure et j'ai claqué la porte ans même vouloir entendre ce qu'il avait à me dire. Pour la première fois de ma vie j'étais bien avec un garçon, mais pour lui ça n'allait pas. Dans le silence de cet appartement qui semblait soudain bien vide, je m'adossais à la porte et me laisser glisser le long avant de fondre en larme. La semaine suivante, j'avais fait mes cartons et j'étais retourné chez mes parents. Mais la maison raisonnait en permanence des cris des disputes. Alors que je jurais comme un charretier pour je ne sais plus quoi, mon père s'énerva à son tour. Ca suffit Prudence, tu me fais honte. Je ne t'ai pas élevé comme ça. C'était la remarque de trop. Non ça c'est sûr tu m'a pas élevé du tout ! Voilà, c'était dit. Un silence pesant suivit. C'est là que mes parents eurent une autre brillante idée. Notre famille possédait une villa à Straddie, le coin de paradis où j'aimais passer du temps pendant les vacances. Mon père avait remarqué que j'avais l'air plus heureuse la bas, il me proposait d'aller m'y installer à l'année, d'aller vivre la bas. Cette fois, chapeau. Mieux que Sainte Blandine mieux que l'appart, mieux que la désintoxe, mes parents avaient trouvé le moyen de me mettre à l'écart définitivement, en m'envoyant habiter ailleurs. Straddie me voilà.

I CRASH MY CAR INTO THE BRIDGE I WATCH I LET IT BURN. I DON'T CARE. Je n'avais pas mit longtemps à faire mes cartons après avir obtenu mon diplôme d'étude en architecture, je ne voulais plus vivre chez moi. Même si j'étais soulagée de partir, j'étais blessée que mes parents se débarrassent de moi encore une fois. Mais Straddie, c'était différent, je m'y sentais vraiment bien, j'ai toujours été persuadée que le malheur était plus léger au soleil. Mais je n'étais pas spécialement malheureuse. J'étais à Straddie, mon diplôme d'archi en poche et j'en profitais pour surfer plus que jamais. C'était une chose que Jeremiah m'avait souvent reproché, de faire passer le surf avant tout. C'était plus fort que moi, je ne pouvais pas renoncer à ma passion, surtout si j'étais douée, et bordel qu'est-ce que j'étais douée. J’enchaînais les compétitions, et c'est à une compétition que je l'ai retrouvé. En sortant de l'eau, je claquais ma main dans celle de Kendall puis j'allais ranger ma planche dans la tente qui servait de hanger temporaire avant que nous ne rentrions tous chez nous, planches sous le bras. J'entendis alors une voix dans mon dos. Bravo, t'étais impressionnante dans l'eau. Je me retournais avec un sourire Merci, on avait... mais l'étonnement empêcha le reste de ma phrase de venir quand je posais mes yeux sur mon interlocuteur. Mon sourire s'élargit encore. Encore toi ? Méfie toi, c'est presque du harcèlement... lui dis-je dans un sourire taquin. Artur-Judd Welsby se tenait une nouvelle fois face à moi. Que faisait-il à Straddie, je n'en avais aucune idée, mais il était là, et ça m'amusait au plus haut point. Alors tu vis ici maintenant ? me demanda-t-il sans tenir compte de ma remarque. Je hochais la tête. Je suis là pour un moment aussi. A cet instant, la voix de Kendall m'appela. C'était peut-être pas hasard que nous nous retrouvions tous les deux une nouvelle dois, mais c'était à nous de forcer un peu les choses. Je pris un papier qui traînait sur une table et m'emparais d'un stylo dans mon sac. Je griffonnais dessus mon numéro de téléphone et lui collais le papier entre les mains. Appel moi si jamais tu t'ennui... lui dis-je avec un sourire en coin avant de quitter les lieux. Il m'avait appelé, nous nous étions vu, puis revus puis revu encore, malgré les engueulades. Non, AJ et moi, on était ni ensemble, ni amoureux. On étaient... amis, et on se rendait mutuellement service.

Bienvenuuue (preeem's #SBAFF#)

merci beaucoup
tu auras droit à un maxi cookie + supplément de guimauve

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN

toi je t'adooooooooooopteeeeeeee

Biiienvenue !!
Bon courage pour ta fichette.

bienvenue sur le fo
j'adore la chanson de ton titre de post !

YEAH on pourra manger pleins de cookies
merci beaucoup beaucoup beaucoup ohlala Jake voui Hall of fame est géniale

Bienvenue parmi nous
Les chansons sont trop zolies

Merci Olina
Merci mon p'tit, t'inquiète pas je vais le calmer moi il fera moins le malin super choix d'avatar; Ed Sheeran quoi

merci beaucoup

merci beaucoup alors là tu peux totalement compter sur moi

Citation :

il fallait être aveugle pour ne pas se rendre compte que le jeune chanteur était un Apollon en puissance.

Citation :

Non, AJ et moi, on était ni ensemble, ni amoureux. On étaient... amis, et on se rendait mutuellement service.

tu crois pas si bien dire mon petit ! du coup pardon pour l'attente, mais c'est avec un big sourire que je te valide mon petit ; et bienvenue chez les BARBOUILLE, les meilleurs, en fait.

ps. on me calme pas, moi.
ps². moi aussi j'veux des cookies.
ps3. j'ai tellement hâte de jouer avec toi que je devrais arrêter de dire de la merde comme ça.

merci petit chat
ps1 : je te jure que je vais te calmer
ps2 : si tu veux des cookies t'as qu'à être ma copine
ps3 : c'est partiiiiiiiiiiiit