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 (r) this wings are made to fly

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Prudence J. Bryce
Prudence J. Bryce
Tout nu et tout (pas) bronzé.Tout nu et tout (pas) bronzé.

◊ bouteilles à la mer : 25
◊ début des vacances : 02/06/2013
◊ ton âge : 30
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MessageSujet: (r) this wings are made to fly   (r) this wings are made to fly EmptyMer 5 Juin - 22:34



artur-judd & prudence



Tout Straddie ne parlait plus que de la soirée de Thya Bishop qui se préparait, si vous n'aviez pas été invité, alors vous n'étiez personne. Bien sûr je l'étais depuis le début, je connaissais Thya depuis l'enfance pour lui avoir donner des cours de surf afin qu'elle parvienne à draguer le garçon dont elle était amoureuse alors que nous n'étions encore que des gamines d'une dizaine d'année. J'attendais cette soirée avec impatience, les Bishop avaient un impressionnante villa au bord de la plage qui comprenait, entre autre, piscine et jacuzzi. Le climat était plus qu'agréable en ce moment, même pour la saison, et la journée avait été carrément étouffante... J'enfilais rapidement une robe blanche légère, d'un geste machinal, je passais une main dans mes long cheveux blonds en me regardant dans la glace. Dans le dressing, je m'emparais d'une paire d'escarpins noirs que j'enfilais en sautillant sur un pied, manquant de perdre l'équilibre. Comme d'habitude, j'étais en retard, j'avais passé la journée à un photoshoot et en rentrant je m'étais endormi, épuisée d'avoir cumulé trop de nuit agitées. Je m'étais réveillé paniquée après un cauchemar et j'avais eu besoin d'une longue douche glacée pour me remettre les idées en place. Je claquais finalement la porte de la maison et me dirigeais à pied vers chez les Bishop, ils ne vivaient pas très loin de chez moi, et de toute façon je ne pourrais pas prendre ma voiture puisque j'avais prévu de boire plus que de raison, après tout, c'était de mon âge pour encore un petit moment, autant en profiter. Je ne savais pas si AJ serait là, je crois que je l'espérais, mais je ne voulais pas trop l'attendre, au risque d'être dessus si monsieur de daignait pas se montrer, ce qui m'aurait grandement étonné. Quand j'arrivais non loin du lieu de la fête, la musique, les rires et les cris m'indiquèrent que la soirée avait commencé. A peine arrivé, une tornade rousse me sauta dans les bras. Thya, déjà bien éméchée, manifesta sa joie de me voir par des cris suraigüe et des surnoms débiles. Elle m'entraina très vite vers le bar et me servit mon premier verre de tequila avant même que je n'ai le temps de dire bonjour à qui que se soit. Très vite, je me retrouvais à enchaîner les verres et Thya m'attira avec elle un peu plus loin pour aller danser. C'était notre rituel, nous avions prit notre première cours de danse ensemble alors que j'étais en vacance à Straddie et nous y avions prit goût. J'avais continué à Canberra et il s'était avéré que j'étais carrément doué. Du classique nous étions passées au hip-hop à l'adolescence, et à chaque soirée, ma copine insistait pour une battle improvisée. Après quelques verres, il semblait impossible que je refuse, et je relevais le défi sous les applaudissements.

La nuit était tombé sur Straddie quand mon regard croisa celui d'Artur-Judd, comme je m'y attendais, il était là. Je lui rendis son sourire mais je déchantais bien vite quand je le vis poser ses mains sur la taille d'une pouffiasse. Je fis un effort absolument sur humain pour masquer mon dégoût, et je pris le partis d'en rire. Je lui adressais un regard moqueur quand il leva les yeux vers moi après un baiser langoureux avec l'autre qui semblait avoir essayé de carrément lui manger la bouche. C'était plus fort que moi, on était pas ensemble, mais AJ était à moi, rien qu'à moi, et ça m'énervait quand il ne le comprenait pas. Vexée, je finissais mon verre d'une traite et repoussais la main carrément baladeuse d'un gars qui venait se frotter à moi. Devant mon regard dédaigneux, il n'insista pas plus. Je quittais rapidement la fête dans un état d'ivresse déjà bien avancé et quelque peu titubante, en attrapant une bouteille encore pleine sur la table, totalement au hasard. Mais je ne voulais pas rentrer chez moi. En faite, Straddie n'était pas grande, et je n'eus à marcher que quelque minutes pour arriver à frenchman's beach, et j'entendais encore la musique de la fête. J'enlevais mes escarpins et m'installais sur le sable, les jambes dépliées. Je calais la bouteille entre mes genoux après en avoir bu une gorgé qui m'arracha une grimace. Je ne savais même pas ce que c'était, mais en tout cas c'était bien fort pour quelque chose qui avait le goût du cranberry. AJ était un connard. Moi aussi je pourrais me taper des crasseux, j'avais juste trop de classe pour ça. Je méritais bien mieux. Bon ok j'étais rageuse.

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Artur-Judd ❝aj❞ Welsby
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MessageSujet: Re: (r) this wings are made to fly   (r) this wings are made to fly EmptyJeu 6 Juin - 17:52

“ And when the daylight comes I'll have to go, but tonight I'm gonna hold you so close ”

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Thya Bishop ? Un nom qu’aj a déjà entendu. Ou peut-être pas, au fond, ça n’a aucune foutue importance. Y’avait bien eu cette époque où il n’était rien, et surtout personne ; beaucoup le connaissait comme le môme qui fait pitié, celui dont personne ne veut s’occuper alors y traine dans les rues toute la journée et s’enivre dans les bars toute la nuit alors qu’il a même pas l’âge d’acheter de la bière. Mais aujourd’hui, les choses étaient bien différentes, et c’était presque comme si tout le monde avait envie de côtoyer le jeune homme. Tout l’monde se connaissait à Straddie – la différence entre avant et maintenant, c’est qu’à une époque, on ne lui aurait certainement pas laissé foutre un seul pied dans une demeure comme celle-là, sous aucun prétexte. Aujourd’hui, il avait reçu des tas de fois le même putain de message privé sur facebook pour lui rappeler que la fête avait bien lieu ce soir – sous-entendu « s’il-te-plaît sois là, ce serait vachement cool que tu te pointes ». Il était pas du genre à faire ce qu’on lui demandait, encore moins quand ça commençait à s’apparenter à du harcèlement – et puis, après réflexion, il avait réalisé qu’il n’avait pas d’autre projet pour la soirée, et puis ça faisait longtemps qu’il n’avait pas bougé son cul de sa chambre d’hôtel. Suffisamment pour qu’il daigne pointer le bout de son nez à cette soirée.

Il est presque onze heures du soir, et, debout sur le comptoir, aj explique à qui veut entendre comment on fait la fête aux Etats-Unis. Il a l’impression que beaucoup d’yeux sont rivés sur lui et, penché à un bon mètre de hauteur, il a la sensation de flotter au-dessus de tous ces cons qui l’écoutent, bouche ouverte & yeux brillants. Il ne leur laisse même pas le temps de tout assimiler que, déjà, il ordonne qu’on lui fasse deux fois un mètre de verres, et qu’on place les shooter de vodka au-dessus. Une petite technique qu’il a l’impression de connaitre par cœur tellement il l’a pratiqué. Et, finalement, quand tout est mis en place, il pousse fermement sur le premier shooter, qui déverse son contenu alcoolisé dans le verre de redbull, avant de faire renverser tous les autres shooters dans les verres. D’un coup, ils se mettent tous à hurler, comme si c’était la première fois qu’ils voyaient un truc aussi génial. Saisissant un verre dans chaque main, aj s’éloigne de la foule, cherchant des yeux une âme qu’il reconnaitrait, parmi tous ses nouveaux potes dont il ne se souvient déjà plus du nom. Personne. Sérieux, il est le seul de tous ses potes à avoir choisi la maison de Thya Biquelquechosepeuimportequoions’enfout ? Il vide son premier verre d’une seule traite. Il revient sur ses pas et, finalement, tendant le bras le plus haut possible pour exhiber son dernier verre, il crie un magnifique « DEBBIE, ACTION OU VERITE ? » qui traverse toute la pièce.
Il est trois heures passée et aj se défonce sur la piste de danse. Littéralement, hein. Ça doit sentir le joint à plein nez là-dedans, mais il est carrément pas le seul, aux vues des pupilles de ceux qui l’entourent. Elle s’approche de lui et lui arrache son joint avant de le chercher des yeux – ça le fait sourire, mais simplement parce qu’il est super déchiré et que ses yeux lui permettent à peine de la voir. On dirait qu’il sourit dans le vide, et il s’en rend à peine compte lorsque ses bras finissent par encercler la taille de la fameuse Debbie, qui a pleinement jeté son dévolu sur lui pendant ce drôle d’action ou vérité. Ses petits yeux se perdent et, alors qu’il pense sourire encore, il réalise que son regard s’est posé sur le corps d’une blondasse qu’il ne connait que trop bien. Il a envie de lui sourire un peu plus mais, alors qu’il tente de le faire, il réalise qu’elle a déjà filé sous ses yeux. Il est complètement out et n’a pas pigé pourquoi elle est partie. Même pas sûr qu’il se souvienne qu’il vient d’embrasser cette nana, qui le colle depuis tout à l’heure et qui, surtout, vient de lui niquer son pétard.

Assit sur le carrelage de l’immense salle de bains, aj tente de reprendre ses esprits. Des fois, il se dit qu’il voudrait rester jeune toute sa vie. A d’autres moments, comme maintenant précisément, il réalise qu’il a passé l’âge d’être un gros légume en soirée. Alors il se relève, se repasse un peu d’eau glacée sur la gueule et s’arrange pour ressembler à quelque chose, avant de quitter la pièce. La plage. On lui a dit qu’elle s’était barrée vers la plage. Qu’est-ce qu’elle irait foutre là-bas, à une heure pareille ? Il doit être quatre heures et aj entend toujours les mêmes BOUM dans ses oreilles, mais il a déjà l’impression d’aller mieux. Ses pieds glissent dans le sable et il ne réalise même pas qu’il devrait avoir froid – trop de substances le protègent encore du vent frais qui balaye la plage. Et il l’aperçoit, ce petit corps recroquevillé sur lui-même, au bord de l’eau. Alors il s’approche, tentant de faire un minimum de bruit, histoire de pas lui foutre les jetons de sa vie. « Alors comme ça on prévoit un petit bain d’minuit sans rien me dire ? » Il sourit, mais elle ne le voit pas. Alors il finit par se poser à côté d’elle, en fait ils sont si proches qu’il est presque assis sur elle. Il sort une petite boite de la poche de son sweat, et commence à rouler un autre joint. Un bout de carton roulé entre les lèvres, il s’exclame, sans que ça ressemble vraiment à une question. « Tu fous quoi ici, en fait ? » Ses lèvres viennent lécher sa feuille pour la refermer et, alors qu’il allume son pétard, sa main se dirige entre les jambes de la demoiselle – précisément sur cette bouteille qu’elle semblait vouloir cacher. « On partage ? »

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MessageSujet: Re: (r) this wings are made to fly   (r) this wings are made to fly EmptyJeu 6 Juin - 20:13



Ca peut paraître bizarre, mais la seule personne à qui j'avais vraiment envie de parler en cet instant, c'est Tess. Ma copine de Sainte Blandine était Australienne elle aussi, mais elle vivait à l'autre bout du pays, à Eaton, autant dire à l'autre bout du monde. Nous nous étions bien entendues, puis elle m'avait soutenu dans les coups durs comme dans les conneries. Quitter les filles de Sainte Blandine m'avait vraiment attristée, mais c'est dans les bras de Tess que j'avais pleurer. Je n'oublierais jamais aucune de ces filles, et Tess resterait à tout jamais ma tout première véritable amie. Malgré la distance, nous nous téléphonions au moins toutes les semaines et nous trouvions toujours un moyens de nous voir tous les deux ou trois mois. Une amie comme on en fait peu, ma Tess. Je m'efforçais de ne pas trop penser à ma copine, saoule comme je l'étais, j'aurais été capable de lui téléphonais et il était près de quatre heures du matin. Je jouais avec le sable autour de mes cuisses en réfléchissant. AJ pouvait bien sauter sa pouff si ça lui disait, je m'en moquais. Je savais que c'était faux, en revanche je ne savais pas pourquoi. C'est vrai que j'avais toujours était jalouse et possessive, à tous les niveaux, mais j'aurais aimé me contrôler avec lui, parvenir à lui faire croire que je ne me préoccupais absolument de sa vie ni de avec qui il passait ses nuits mais c'était plus fort que moi, j'étais expressive, et avec l'alcool, ce trait de ma personnalité était décuplé. Je sais que quelqu'un arrive derrière moi, parce que le quelqu'un en question est à peu près aussi discret qu'un cheval au galop sur du parquet. Puis une voix familière s'élève, mais je ne me retourne pas pour autant. Alors comme ça on prévoit un petit bain d’minuit sans rien me dire ? Il m'avait retrouvé, bien sur, ça semblait évident sachant qu'on s'était même retrouvé à Saddie complètement par hasard, des années après notre toute première rencontre. Je sais qu'il à se sourire un peu attardé, ce sourire des soirs où à trop bu. Comme je ne lui répond pas et que je ne prend même pas la peine de le regarder, il s'assied à côté de moi. Tu fous quoi ici, en fait ? Je finis par tourner les yeux vers lui et le regarde se rouler son joint. Il fume trop. Il boit trop aussi. Mais je ne suis pas sa mère donc je ne fais pas de commentaire la dessus. J'étouffais la bas, j'ai jamais bien supporté les blaireaux aux mains baladeuses. Donc je prend l'air. me contentais-je de répondre, l'air de dire aussi 'du coup me le pompe pas'. Je n'avais pas spécialement le droit de lui en vouloir après tout il ne m'avait rien fait mais c'était plus fort que moi. Il dirigea sa main vers la bouteille et je lui tapais sur les doigts. Je répondis à son On partage ? Par un doigt d'honneur tout à fait vulgaire. Je m'empare de la bouteille dont je bois quelques gorgées qui me tirent une nouvelle grimace avant de la reposa entre mes genoux afin d'éviter qu'elle ne se déverse sur le sable. Je pensais que tu serais occupé, tu t'es déjà débarrassé de ta copine ? Tu traînes pas toi au moins... Jalouse... Je préfère regarder l'océan qui commence à s'agiter plutôt que de me tourner vers lui, je ne sais pas trop pourquoi. Puis finalement je lui jette un regard en coin et finit par lui tendre la bouteille, résignée.
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MessageSujet: Re: (r) this wings are made to fly   (r) this wings are made to fly EmptySam 8 Juin - 9:15

“ And when the daylight comes I'll have to go, but tonight I'm gonna hold you so close ”

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Il observe les remous de l’océan, et ça lui donne un peu la gerbe. Merde, lui qui avait eu l’impression d’aller mieux, quelques minutes plus tôt, aurait du la fermer avant d’imaginer que tout ce qu’il avait pu ingurgiter en l’espace de quelques petites heures quitterait son corps si rapidement. Il détourne les yeux et s’affaire alors à la préparation de sa petite merveille qui, franchement, ne ressemble plus à grand-chose, vu qu’il tremble comme un camé complètement alcoolique. Mais il en est fier, de son pétard et, alors qu’il le ramène à ses lèvres, il commence à faire la conversation à lui-même. Ça le gêne même pas d’avoir aucune réponse, au fond il a sûrement trop bu pour que le silence ne l’atteigne. Finalement, lorsque Prue se décide enfin à lui expliquer les raisons de sa présence ici, il ne peut s’empêcher de sourire – ouais, toujours ce sourire de dégénéré qui a clairement beaucoup trop bu. « T’y es toujours pas habituée, depuis l’temps ? » Ca veut un peu rien dire, et en même temps tout – c’est normal que les mecs se retournent sur son passage, qu’ils la matent un peu trop & que les plus audacieux, même, tentent d’attirer son attention en la tripotant un peu. C’est pas forcément que ça lui plait, hein, mais pour le coup il ne dira pas l’contraire – elle est carrément mignonne, sa blondasse, alors ça l’étonne même plus. Sa réaction face à la bouteille n’étonne même pas le jeune homme, qui se contente de hausser les épaules ; il est persuadé qu’elle pense qu’il a trop bu, mais lui connait ses limites, depuis l’temps. Ou alors disons simplement qu’il sait à peu près à partir de quel moment ça craint réellement. Ça le dérange pas, de recevoir des fuck de sa part – en fait, il est sûrement trop bourré pour y faire attention. Et puis, de toute façon, leur relation est bien trop étrange pour qu’un simple fuck l’étonne réellement. Ce qui l’étonne, par contre, c’est son ultime phrase – et pour le coup, il reste légèrement sur le cul. Les sourcils froncés, il se tourne doucement vers elle, tentant de capter une explication dans les yeux de la blonde. Mais elle semble éviter son regard, ou alors c’est lui qui se fait des idées ? Dans tous les cas, il soupire avant de lui répondre. « Quuoi ? Sérieux Pruddie, c’est moi qui bois et c’est toi qui raconte que d’la merde, ça craint. » Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il a pas du tout compris où elle voulait en venir – en fait, l’autre nana est déjà à des années lumières de son esprit, et c’est fort probable qu’il ne se souvienne jamais d’elle. Dommage ! Il ne tente pourtant pas de faire des connexions dans son esprit et, finalement, elle se résigne et lui tend la bouteille. Une main l’attrape tandis que l’autre, toujours accrochée à son joint, vient frotter la chevelure blonde de Prue comme on le fait à un bon chien-chien à sa maman. « J’savais que tu finirais par craquer, tu craques toujours. » Pas complètement faux, en fait. Même s’ils se font la gueule à peu près une fois tous les deux jours, ils savent parfaitement qu’y’en a toujours un des deux pour revenir vers l’autre. Sauf que là, elle a aucune raison de lui faire la gueule et, alors, aj met ça sur le dos des autres gars. Il va tous leur péter la gueule s’ils continuent à la faire chier comme ça ! Ou alors il va comater dans un coin de la baraque immense, à voir. Il place son joint entre ses lèvres avant de finalement sortir son briquet pour allumer son précieux. Sauf qu’évidemment, il se brûle ; alors il balance la chose et crache que ces merdes auront sa peau. C’est pas totalement faux, en plus. Bien joué, maintenant il a plus de feu. Il se penche alors, complètement pas stable et dangereusement, avant de tendre son pied vers Prue pour attirer son attention. « M’aide pas surtout, hein ! »

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MessageSujet: Re: (r) this wings are made to fly   (r) this wings are made to fly EmptyVen 14 Juin - 22:43



Je ne savais pas vraiment ce qui me liait à AJ, j'avais du mal à le définir. Nous n'étions pas de vulgaire plan cul, je collais une baffe au premier qui osait prononcer cette expression devant moi. C'était plus complexe que ça, j'étais très attachée à lui, j'éprouvais beaucoup d'affection pour lui, et je pense que c'était réciproque. Mais bien sûre, deux caractères comme les nôtres, les disputes étaient fréquentes et inévitables. Je tourne les yeux vers lui et sans trop savoir pourquoi, ce sourire m'énerve mais m'amuse également. Quel con celui la. T’y es toujours pas habituée, depuis l’temps ? C'est plus fort que moi, un léger rire m'échappe. Il n'y avait qu'AJ pour dire ce genre de chose qui signalait tout à la fois, y compris que j'étais canon. Ravie de voir que ça t'offusque en tout cas... Lui dis-je avec un sourire en coin. D'un autre côté, s'il avait fait une remarque de jaloux, je lui aurais dit que je n'étais pas à lui. Mais AJ me connaissait bien, mieux que je ne l'aurais voulu, et il savait que j'étais plutôt du genre jamais contente. En attendant, c'était moi qui jouais la jalouse compulsive, comme si j'étais incapable de la fermer. Je lève les yeux à sa remarque, un peu résignée. Discussion d'alcoolique, ça vole haut. J’savais que tu finirais par craquer, tu craques toujours. Je lève les yeux au ciel mais je ne peux pas retenir un sourire. Non mais franchement. J'avoue, parfois je craque, c'était dur de faire la gueule à quelqu'un comme AJ, mais quand il s'agissait de moi, lui aussi avait une volonté à peu près similaire à celle d'une huitre. Et nous le savions tous les deux. Il attrape la bouteille que je lui tends et caresse mes longs cheveux blond. Bin voyons, un jour il me demandera de rapporter le nonos vous verrez. Je penche légèrement la tête, un brin vexée, mais finalement pas tant que ça. Alors pour me venger, je ricane comme une gamine quand il e brûle et je le regarde galérer un petit moment. Je haussais les sourcils quand il tenta d'attirer mon attention d'un geste du pied. M’aide pas surtout, hein ! Je le regarde encore pendant quelques secondes, dans un équilibre précaire. T'inquiète c'est pas au programme ! Et ça me fait rire, tout simplement. Pourtant je finis par me lever même si je titube quelques seconde. Je m'approche de lui mais le pousse du bout du pied et le fait tomber dans le sable. Bien fait. Pourtant je finis par lui tendre la main. Allez lève toi feignasse... Le houspillais-je faussement. Je me penchais en arrière pour faire contre poids et le relevais plus facilement. Duo d'alcoolique. Oublie pas la bouteille, on va boire les pieds dans l'eau ! L'eau... Je devenais folle loin de l'océan, incapable de surfer, comme à Sainte Blandine par exemple. Je lançais un regard d'en dessous à AJ, avec un sourire en coin genre "tu te traîne là".

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MessageSujet: Re: (r) this wings are made to fly   (r) this wings are made to fly EmptySam 15 Juin - 18:36

“ And when the daylight comes I'll have to go, but tonight I'm gonna hold you so close ”

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Il l’adore. Et en même temps, il la déteste. C’est bizarre, c’est drôle, c’est incompréhensible, mais c’est comme ça. Il lui semble que ça lui a jamais fait ça auparavant – quand il n’aime pas quelqu’un, il le déteste et ça s’arrête là. Mais est-ce qu’il est vraiment censé détester une personne, et l’aimer en même temps ? A vrai dire, c’est une question qu’il évite de se poser. Car s’il parvient assez facilement à accepter cette évidence, il n’est pas franchement prêt à comprendre tout c’qui se passe dans leurs esprits torturés. Au fond, il ne l’avouera jamais, mais sa relation lui convient parfaitement – et il lui arrive même, parfois, dans ses plus grands moments de faiblesse, de se dire qu’elle est l’une des meilleures choses qu’il lui soit arrivé. Il hausse les épaules en entendant sa réponse, et se demande un instant de quoi elle parle. Y’a rien à faire, y’a plus aucune connexion entre son corps et son cerveau, là c’est mort. Il se tourne doucement vers elle et une sorte de « Mais qu’est-ce que tu veux que ça me foute » s’échappe d’entre ses lèvres. Il n’est pas certain qu’elle l’a entendu et, à vrai dire, ça n’a pas beaucoup d’importance car, déjà, il retourne à sa petite confection. Enfin, jusqu’à ce que son briquet ne décide de jouer au connard. Il a envie de jurer sur sa race & sur la vie de sa mère quand Prue le pousse mais il ne le fait même pas, simplement parce qu’elle ne le lui laisse pas le temps de le faire. Alors, avec tous les efforts du monde, il parvient finalement à se lever, et même que dans son mouvement complètement périlleux, il a l’intelligence d’attraper la bouteille, à moitié vide. Il la rattrape en tanguant et, finalement, ses pieds touchent l’eau plus vite qu’il ne l’aurait pensé. Mais il s’en fout, de toute façon il est pas prêt d’avoir froid, avec tout ce qu’il a bu. Il se tourne finalement vers elle et, après l’avoir dévisagé bizarrement pendant quelques secondes, il crache enfin l’morceau. « Tu bois pas toi, » murmure-t-il tandis qu’il approche dangereusement ses lèvres souriantes de celles de la demoiselle. Un bon moyen de détourner son attention, puisqu’il finit par se reculer d’elle au dernier moment et boit une bonne gorgée d’alcool avant de simplement balancer la bouteille le plus haut, et surtout le plus loin possible. Comme ça, elle ne boira pas, tout simplement. Reposant son regard dans celui de la blonde, il s’attend évidemment à des représailles, mais il n’a pas peur, ahah. Il s’est promis, un jour, de toujours veiller sur elle, et même si c’est carrément l’hôpital qui se fout de la charité, au moins, dans son esprit complètement en bordel, il lui reste ce reflexe, aussi étrange soit-il ; veiller sur elle, tout simplement. « J’t’aime bien hein, mais j’te préfère quand t’es clean, tu vois. » Il sait qu’elle le déteste déjà pour ce qu’il a fait, alors bon, même s’il est déchiré, faut se rendre à l’évidence : ça passera mieux en changeant de sujet. Normal. « Pruddie, j’vais te poser une question à laquelle tu vas être obligée d’répondre… » Il bouffe finalement la distance qui les séparait et, d’une main, entoure doucement son poignet, comme si la toucher allait changer quelque chose. «  T’as pas de foutu briquet !? » Il a envie d’péter les plombs, il a passé bien trop de temps à rouler sa merde, et maintenant, il peut pas la fumer parce qu’il a pas de feu, putain ! Fouillant dans ses poches, il n’entend même pas cette seconde question, qui s’échappe d’entre ses lèvres, sûrement trop rapidement. « Et pourquoi t’es là avec moi, pourquoi t’es pas en train d’t’amuser ailleurs ? »  



Dernière édition par Artur-Judd ❝aj❞ Welsby le Sam 15 Juin - 22:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (r) this wings are made to fly   (r) this wings are made to fly EmptySam 15 Juin - 21:14



Non mais quel con. Parfois je me demandais ce que je foutais avec AJ, enfin 'avec', c'est un grand mot. J'avais parlé de lui à Tess, elle ne l'avait jamais rencontré, elle le connaissait à travers les interviews et les magazines, à travers ce que je lui racontait, et elle ne l'aimait pas. Elle me faisait rire, elle pestait à l'autre bout du fil en me suppliant de me réveiller, en me disant que je valais mieux que ça, mieux que lui, que tous les mecs se damneraient pour m'épouser mais que je me gâchais avec "ce connard prétentieux" comme elle disait. Je riais sans rien dire de plus. Elle ne pouvais pas comprendre, c'était normal. Mais AJ était important pour moi, nous partagions, presque malgré nous, des instants magiques, des confessions, nos joies, nos douleurs, nos fous rires et nos peines. Je jetais un regard en coin à mon "ami-amant". Quand j'étais gamine, je rêvais du prince charmant en regardant les Disney, en me disant qu'un jour moi aussi je connaîtrais des romances pareilles. Après tout moi aussi j'étais une princesse. Mais la princesse avait vite connu des galères un peu différentes de celles de ses héroïnes. Je me souviens qu'à Canberra, c'était l'enfer. Je revenais au présent en choisissant de me concentrer plutôt sur Straddie, et sur AJ qui me faisait face. Quand je le poussais du pied avec un sourire de psycho-bitch, il semblait évident qu'il avait envie de m'insulter, mais sur le coup, je l'attendais. Et il le savait, donc il ne dit rien. Il finit par se lever et me faire face. Nous finîmes sans tarder les pieds dans l'eau, léchés par les vagues qui venait, paisibles, en cette nuit tranquille. Je connaissais aussi son sourire en coin, ce sourire de débile quand il m'avait énervé, mais ce sourire qui voulait aussi dire qu'il n'allait pas tarder à me chercher, je le vois à sa façon de me regarder. Tu bois pas toi. Je ne savais pas vraiment si c'était une question, une affirmation, un ordre. Et je n'ai même pas le temps de lui répondre qu'il s'approche dangereusement de moi. Je ne bouge pas, je voudrais reculer, juste pour le faire chier, mais je n'y arrive pas, le temps que l'info monte au cerveau, c'est trop tard. AJ se recula de moi, bu une gorgée de la bouteille, et fit quelque chose je ne n'attendais absolument pas. Il jeta la bouteille, loin, très loin, trop loin. Je lui jetais un regard scandalisé et refrénais mon envie de le noyer. J’t’aime bien hein, mais j’te préfère quand t’es clean, tu vois. Je croisais les bras et fronçais les sourcils d'un air mauvais. Quel con. Et moi j'te préfère quand t'es loin. Je me retenais d'ajouter un "connard" bien senti mais qui transparaissais avec évidence dans la façon dont je terminais ma phrase. Bon c'était faux, mais j'en avais rien à foutre. AJ s'approcha de moi et me saisi le poignet, j'attendais un peu angoissée cette question apparemment existentielle qu'il voulait me posait. Il m'attrapa avec douceur le poignet. T’as pas de foutu briquet !? Il allait me faire chier longtemps avec son briquet ou pas ? Ohla mais arrête de fumer ça te rend nerveux mon chou ! Et en plus tu te bousille la santé et tu t’essouffle quand tu monte les escaliers.  Il en avait rien à foutre, moi aussi, mais je savais que mes leçons de morale l'emmerdaient profondément donc j'en profitais. Et pourquoi t’es là avec moi, pourquoi t’es pas en train d’t’amuser ailleurs ?  Je haussais les épaules, en me demandant vaguement ce que ça pouvait lui foutre de toute façon. Mais je choisis une autre approche et je lui lance un regard en dessous. J'm'amuse bien avec toi aussi t'inquiète pas pour ça... J'avais une robe, mais j'avais la chance d'avoir une robe avec une poche sur le côté, au niveau de la taille. Je sortis un briquet de ma poche, je ne fumais pas, c'était de la connerie, fumer, mais j'en avais toujours hein, au cas où. J'étais une nana sur-équipée. Je le tendis à AJ, mais alors qu'il allait le saisir, je le repris vivement, avec le sourire de la fille qui veut faire chier le monde. Je lançais le briquet loin, très très loin devant nous, dans l'océan, avant de me retourner vers AJ, satisfaite. Maintenant qu'on est débarrassé de ça, on fait quoi ? Bitch.

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Artur-Judd ❝aj❞ Welsby
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MessageSujet: Re: (r) this wings are made to fly   (r) this wings are made to fly EmptyDim 16 Juin - 18:17

“ And when the daylight comes I'll have to go, but tonight I'm gonna hold you so close ”

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Ils avaient cette façon si particulière de s’entendre qu’il arrivait parfois à aj de se dire que probablement personne d’autre ne pouvait les comprendre. C’était bizarre mais, au fond, ils se comprenaient et n’avaient jamais ressenti le besoin d’expliquer leur relation si spéciale. C’était pas commun comme histoire, c’est sûr, mais c’était la leur et, finalement, peut-être qu’ils étaient suffisamment différents tous les deux pour avoir le droit à une histoire hors-du-commun. Il n’avait rien du prince charmant et elle le savait très bien. Pourtant, il faisait de son mieux, ou presque, pour prendre soin d’elle ; tellement que même lorsqu’il était bourré, il se permettait de balancer sa bouteille, juste pour qu’elle ne puisse pas boire plus. Ça se voyait pas comme ça, parce qu’il ne montrait jamais ses émotions & ses vrais sentiments, et probablement qu’il ne le fera jamais, mais il tenait à elle, et même s’il avait une façon très, très spéciale de faire les choses, il les faisait quand même. C’était maladroit comme façon de la protéger, mais c’était lui, il n’avait rien trouvé de mieux et, quelque part, il espérait que ça lui suffisait. Enfin, de toute façon, même si ça ne lui convenait, il n’en avait pas grand-chose à foutre. C’était trop tard pour récupérer cette bouteille, de toute façon.
Il le savait trop bien qu’elle allait réagir comme ça, alors seul un sourire amusé se dessine sur ses lèvres quand il entend sa réponse. « C’est pas toujours c’que tu dis, pourtant, » souffle-t-il, amusé par la situation. Il la cherche, la provoque sans arrêt – et elle le lui rend si bien. Ils ne sont pas fait pour être ensemble et, pourtant, le destin les réuni toujours. Cette histoire de briquet commence à prendre beaucoup d’ampleur, et il sent qu’il l’énerve encore un peu plus avec sa question – mais bordel, il lui faut du feu ! Il lâche un petit rire en entendant sa réponse, depuis quand elle se soucie de sa santé, hein ? « Chérie, j’prends jamais les escaliers, ma santé physique va très bien et c’est sûrement pas toi qui diras l’contraire. » C’est plus fort que lui, il veut toujours jouer avec elle, repousser ses limites pour voir jusqu’où elle peut le supporter. Et, contre toute attente, elle est à chaque fois bien plus forte qu’il ne l’aurait cru. La preuve, puisqu’elle vient encore de dévier sa question en répondant à côté d’la plaque. « Ma compagnie est inégalable, on m’le dit souvent. » Toujours le même sourire de connard trop fier & à l’égo surdimensionné. Elle doit bien le connaitre celui-là, depuis l’temps ! Et c’est alors qu’il a simplement envie de se suicider. Genre, d’un seul coup, précisément au moment où le briquet frappe la surface de l’eau et finit par disparaitre. Un instant, ses yeux restent bloqués sur les remous de l’océan et, alors que son visage se tourne enfin vers la blondasse, il tente de calmer ses nerfs en réalisant qu’il ne l’allumera jamais, son foutu pétard. « Toi j’sais pas mais moi j’ai prévu de te noyer, après j’te mange et ensuite j’vends tes restes sur eBay. » Il la défit du regard, comme si ça allait faire revenir le briquet. Ses yeux semblent lui crier « PRUE, T’ES INSUPPORTABLE, J’TE DETESTE », mais il est trop fatigué pour l’envoyer chier. Vaut mieux la titiller encore, c’est plus drôle & ça la fait encore plus bouillonner. Alors il se tourne et commence à s’éloigner d’elle. « Bon, j’vais aller retrouver mes nouveaux potes, eux au moins ils auront du feu, et envie que je reste avec eux. » Il joue à la petite victime, comme il aime si bien le faire. Il sait pas trop s’il a envie qu’elle le rattrape, ou pas. Peut-être que si, en fait. Parce que, mine de rien, lui aussi il s’amuse bien, avec elle. « Tu peux v’nir si tu veux, y’a cette nana super cool que j’ai rencontré tout à l’heure, j’pense que tu l’aimerais bien. »

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