J'aime la musique, les grands classiques m'apaisent, j'aime la danse, le théâtre, la poterie, la joie, les enfants et surtout lui. J'aurais ou devenir quelqu'un de bien ,d'admirable, quelqu'un dont les gens tremblent rien qu'en entendant son nom. Mais non je suis devenue cette femme incompris éperdument amoureuse et j'ai signé avec l'idiotie des sentiments. La vie ma pourtant tout donnée, j'ai eu le droit à des parents absolument géniaux. Ma mère était danseuse étoile, elle sentait toujours le bonbon et elle avait un sourire radieux. Je m'en souviens comme-ci c'était hier, le soir elle me couchait et me murmurer à l'oreille « Et la princesse est prête à rejoindre son royaume enchanté ». Elle était si douce, si généreuse, un véritable modèle pour la plupart d'entre nous. Mon père lui était un homme d'affaire toujours très occupé, je me souviens de lui avec sa petite sacoche et son costard gris. Je me souviens il sentait toujours très fort le parfait, il rajoutait toujours pleins d'épice dans ces plat et il portait toujours une petite barbe de trois jours qui me piquait toujours les joues. Mais à l'exception de ça, ma vie était parfaite. Mes parents ne manquaient de rien et pour combler leurs bonheurs il prévoyait une nouvelle naissance. Je l'attendais pendant neuf longs mois, je n'attendais que ça pouvoir jouer avec ma petite soeur, imaginez ma déception quand j'ai vu cette petite chose tout fragile rentrer chez nous. C'était ne joue avec le ballon ça pourrait toucher le bébé, ne fait pas trop de bruit tu vas réveiller ta soeur, sors de là ta soeur dort.. Gr.. Et en plus je n'avais pas le droit de jouer avec. Enfin ma mère rayonnait de bonheur et j'étais contente pour elle, moi je jouais avec Snoopie notre chat. Les années passèrent et c'était toujours le bonheur absolus. Et puis ce jour tout à basculer. Je m'en souviens comme-ci c'était hier, je fêtais mes dix ans, la neige recouvrait les maisons et dans quatre jours à peine c'était Noël. Je peux même vous dire mon gâteau était à la fraise et au chocolat, mes parents m'avaient offert un petit coffret de maquillage dont je rêvais tans. Ma soeur rage de jalousie à prit le couteau le plus proche pour le planter dans mon abdomen. Je me rappelles des cries de mon père, les larmes de ma mère et plus rien. Je me suis reveillée le 25 décembre dans mon lit d'hôpital. Ce jour-là ma rate me fut enlevé, mais ce ne fut pas ça le pire. Puisqu'on venait de m'enlever ma soeur et ma famille en fut détruite. Ma soeur envoyait dans un pensionnat psychiatrique qui coutait très cher à mes parents. Mon père devait travailler sept jours sur sept et 24 h sur 24 pour pouvoir combler les frais donc son mariage n'a pas réussis à tenir le choque. J'avais douze ans quand je fus balader d'un coin et l'autre de l'île une semaine sur deux.Les malheurs c'est comme le bonheur tout à une fin, ma vie n'est pas totalement foireuse, j'ai rencontré des gens extraordinaires et des gens moins bien. J'ai eu moi aussi ma part de bonheur, je suis tombais amoureuse. Je suis tombais amoureuse comme une idiote, d'un homme dont la beauté tel un Dieu Grecque. Comment dire, j'étais en perpétuellement manque de lui, je ne voulais que lui, quand il me touchait tout mon corps en réclamait encore, ses baisers étaient la plus belles de toutes la gourmandises et ses caresses mes moments les plus torrides. Je ne rêvais que de lui, je ne voulais que lui. Bruns, aux yeux brun j'aimais me perdre dans ses yeux, je rêvais de me réveiller et de m'endormir chaque matin avec lui, il était pour moi l'homme de ma vie. Mon amour était réciproque je le savais et je le sais encore. Mais qu'est-ce que l'amour quand vous avez seulement seize ans, quand vos seules relations sexuelles sont avec la même personne. Lui a voulu aller voir ailleurs, lui m'a trompé je n'arrivais pas d'écrire le déchirement dans ma poitrine quand je l'ai surpris. Depuis je n'ai rien fait de sérieux et franchement maintenant même les coups d'un soir je n'en veux plus.